Premier réveil dans le désert à proprement parler, il est 5h (la prière est à 05h35 par là), il fait noir et surtout très très froid.
Parlons d’abord du noir. Il est vrai qu’il nous est demandé d’avoir sa propre lampe torche (idéalement frontale pour libérer ses mains entre autres), et il est vrai que j’en avais une, mais sincèrement (ma famille et mes proches savent que je suis quelqu’un qui aime l’obscurité de la nuit, je n’allume jamais aucune lumière chez moi lorsque je me lève dans la nuit), l’une des choses que j’espérais apprécier durant ce séjour au désert est bien l’obscurité éclatante de la nuit.
Je trouve qu’on n’apprécie pas assez (ou on ne se donne pas la peine d’apprécier suffisamment) la nuit, Dieu créa le jour avec ses caractéristiques et la nuit avec les siennes, et la première chose que l’on fait à la tombée de la nuit est de mettre assez d’éclairage pour compenser la baisse de luminosité, comme si on voulait faire durer les caractéristiques du jour durant la nuit 🙂
Le jour a ses secrets, mais la nuit a les siens également, et je trouve qu’on ne pourra les apprécier (et même les déguster lol) que si on permet à la nuit de rester « nuit » et donc sombre.
Et bien vous savez quoi ? c’est juste spectaculaire, le ciel du désert est tellement étoilé (je ne parle même pas en cas de pleine lune) que, je vous promets, personne n’a besoin d’apporter quoi que ce soit comme source artificielle de lumière pour se déplacer et situer des choses. J’étais limite déçu qu’il ne fasse pas aussi sombre que ce que j’espérais 🙂
L’expression obscurité éclatante prend du coup un vrai sens 😉
Parlons maintenant du froid, bien évidemment on a prévu notre coup, pas assez au final 🙂
Du moins, il y a une chose que je ne pensais pas déterminante et pourtant si, le sable. Je suis un adepte incontournable du « pieds nus », dès que j’en ai la possibilité je ne mets rien aux pieds. Pour moi un voyage dans le désert était une sorte de rêve, la possibilité d’être tout le temps en contact avec l’excellente texture du sable, parfois des roches etc, je n’ai juste pas prévu que le sable allait être glacial la nuit et surtout au petit matin. Sérieux c’est juste abusé 🙂 (j’ai retrouvé mes chaussettes à la fin du séjour en plus lol)
Imaginez un peu l’ambiance ablutions avec de l’eau froide (très froide) sur un sable glacial avec un léger vent qui vient accentuer la sensation de froid, je peux vous dire que lors de ces prières du matin ça ne récitait pas plus de 5 versets par unité mdr (et encore cette première nuit était selon moi la moins froide de toutes).
Un phénomène que je n’ai toujours pas compris, si vous avez des infos je suis preneur, le soleil se lève très vite (nous sommes habitués à ce qu’il y ait au moins 1h15/1h30 entre le début de l’aube et le lever franc du soleil), là dans le désert c’était plutôt 50min/1h. Du coup très vite on a commencé à avoir cette vue là :
Puis pour avoir une vue haute sur le secteur, je suis monté avec Smaile et Amine tout en haut d’une falaise pour admirer le lever du soleil et se vider l’esprit.
Amine et Smaile si vous les voyez 🙂 avant que je ne les rejoigne
Vous arrivez en haut et vous admirez ça :
On est resté un long moment en silence total juste à regarder à l’horizon, quand j’en ai parlé à mes 2 compagnons ils m’ont tous les 2 confirmé ce que je pensais : Le silence s’entend
Cela peut paraître fou et irrationnel, mais on arrive à « entendre » le silence 🙂 j’ai tout de suite pensé à l’expression : un silence assourdissant (un peu dans le même style qu’une obscurité éclatante ^^)
Bref, déjà là je me suis dit : j’ai rentabilisé mon voyage 🙂 si je devais rentrer là maintenant en France, cette première nuit, ce premier lever du soleil, cette première étendue m’ont déjà donné satisfaction.
Avec mon pote Amine le parisien 🙂
On est redescendu pour déjeuner, lever le camp et quitter ce 1er lieu : Inahar.
Tous les matins on avait le même rituel, après avoir rangé nos affaires (les tentes, affaires personnelles, remplissage des gourdes …) on marchait un peu (sorte de petite rando matinale) pour laisser le temps aux guides de charger les 4×4, mais surtout de découvrir le désert autrement, à pieds c’est différent d’être assis dans une voiture.
Ce qu’on ne savait pas c’est que cette première marche matinale avait un autre but 🙂 : aller à la découverte de 2/3 petites choses locales.
Avec l’ensemble de l’équipe 😉
Je ne sais pas pour vous mais l’image que j’avais du désert était un immense espace sans vie avec du sable encore du sable et rien d’autre que du sable.
Mon premier choc de ce voyage est qu’il n’y a pas UN désert mais DES déserts.
Mon deuxième choc est que le désert, bien que rude, bien qu’offrant des conditions climatiques extrêmement dures, est tout sauf un lieu mort, c’est vivant, et même très vivant. Il y a une grande vie biologique en terme de flore et bien évidemment par conséquent en terme de faune.
Cet arbre par exemple, il y en a partout et énormément, il s’agit d’une espèce d’Euphorbe (« Torha » en Tamahaq « langue touareg »).
Il produit une sève dangereuse qui coule (une sorte de latex blanc) dès que l’on touche la plante (feuilles par ex). C’est toxique et corrosif, si l’on touche ses yeux après avoir touché cette sève l’on peut avoir des troubles oculaires voire cela peut entraîner de la cécité.
Je n’ai pas pu m’empêcher de me demander : mais que fait cet arbre ici ? les herbivores ne peuvent pas en manger, dangereux pour l’homme et c’est pourtant l’un des arbres stars du désert.
Autre preuve de vie végétale dans le désert est la coloquinte (Alkhad en Tamahaq). Il y en a énormément. Elle ressemble une petite pastèque ou une petite courgette ronde MAIS elle n’est pas comestible même si elle donne envie comme ça de visu 🙂
Je parlerai d’autres plantes dans les épisodes suivants, cette fois, des plantes directement intéressantes pour nous (on en a même ramené en France lol).
Sur la photo ci-dessus, vous voyez un arbre d’Euphorbe en bas à droite, mais il y a un grand arbre en bas à gauche, c’est l’Acacia du désert (Abser en Tamahaq).
Lorsque j’ai vu de me propres yeux qu’il pouvait y avoir de la verdure dans le désert, que ces végétaux sont tellement costauds, endurants et peu exigeants je me suis dit : Il fait sortir le vivant du mort et Il fait sortir le mort du vivant 🙂
Voilà, on y est, la première station à la fin de notre marche matinale :
Vous voyez quelque chose ou pas trop ?
Je me suis rapproché et j’ai zoomé pour vous au cas où 😉
Des gravures rupestres représentant des vaches, très très bien gravées même, on distingue les différentes formes de la robe. Il ne faut pas être un spécialiste pour savoir que le désert n’est pas le lieu rêvé pour élever des vaches, que ce sont des herbivores gourmands en alimentation (ce qui normalement se fait rare dans le désert), et j’ai envie de dire, au vu de la gravure, elles étaient bien grasses ces vaches 🙂
Un peu plus loin, on peut voir ceci :
Des girafes ? Et oui, tout plein même, au fur et à mesure de notre voyage on a pu se rendre compte que la girafe était l’animal le plus représenté dans ces gravures et autres peintures. Il faut croire que ça devait être un sacré squat à girafes dans le secteur 🙂
À gauche on voit que l’homme tient la girafe par le nez, ils les capturaient ? ils les élevaient ? ils avaient réussi à les domestiquer ? Qu’est ce que j’aimerai en savoir davantage sur ce peuple !
Voilà, c’était notre petit menu du matin, les 4×4 nous attendaient et il est pour nous le temps de quitter Inahar pour rejoindre notre 2ème station : Tin Merzouga. Mais sur notre chemin on s’est arrêté pour admirer un autre héritage historique.
Je pourrais rester là et regarder ces paysages pendant des heures.
On s’arrête un peu plus loin à la base d’un grand rocher et on voit ça :
Ici on est dans de la peinture (en couleur svp 🙂 ), encore une fois on voit une forte présence d’animaux (ovidés, bovidés …). Quelle vie il devait y avoir à l’époque !!!
Vous savez quoi, même la route sur laquelle on roulait comme ici :
Et bien c’est un lit de rivière, c’est quand même fou de se dire qu’avant, et bien sur ce même sable il y avait un fleuve.
J’ai dit à Smaile : tu imagines, c’est comme si nous maintenant on se disait que la Moselle (le fleuve de notre département) dans x temps serait juste du sable et on roulerait dessus en 4×4 🙂 , personne ne nous croirait. Les gens qui vivaient ici à l’époque ne pouvaient pas imaginer non plus qu’un jour ce serait le désert.
On continue un peu plus notre chemin et on arrive à cet endroit 🙂
Vous voyez le jeune garçon en t-shirt vert pistache ? 🙂
Dès que l’on s’arrêtait quelque part il disparaissait aussitôt. Son loisir ? grimper le plus haut possible, le plus inattendu possible aussi 🙂
Mais ça a eu un super avantage, c’est que grâce à sa curiosité et son sens de l’aventure (disons le clairement, grâce au fait qu’il ne tenait jamais en place lol) il nous a fait découvrir des coins que même les guides ne connaissaient pas mdr, depuis, j’ai arrêté de lui dire t’es où ? lol ça faisait presque : vas y, t’as trouvé quoi de singulier et d’intéressant ?
Tout en bas de la photo précédente, il y avait ceci :
Des gravures d’éléphants les amis, comme si c’était un défilé avec la foule tout en bas, attendez là, des éléphants, des girafes, ce n »était pas la savane ici par hasard ? 🙂
Juste au cas où on l’aurait oublié, on est en plein désert au sud de l’Algérie, pas loin des frontières avec la Lybie et le Niger, le vrai désert, et ça, c’était une région verte avec rivières, animaux de la savane, vaches, moutons, … ?
Des gravures un peu plus élaborées représentant des gens qui vivaient ici à l’époque.
Encore des girafes 🙂
Sur notre chemin vers Tin Merzouga, on s’arrête à proximité de In Djaran pour le picnic du midi et surtout découvrir des paysages HA.LLU.CI.NANTS
Le sentiment de n’être rien du tout à côté
En voyant cette dune, gens citadins que nous sommes, on s’est dit : venez on la grimpe en attendant qu’ils posent le repas, ouais on en a pour quoi ? 30/45 min aller/retour ?
Gros mdr
Le premier qui s’est lancé est mon fils Alqacim, comme d’habitude, à peine étions nous arrivés qu’il était déjà entrain de monter, il n’a rien demandé à personne 🙂
Le voyant monter à grande vitesse je me suis dit bah ça va quoi, les doigts dans le nez 🙂
Qu’est ce que c’est trompeur, en effet, déjà on sous estime pas mal la hauteur, vous pensez que c’est vite fait alors que c’est une petite montagne l’air de rien, et puis la première moitié on a du la faire en 15 min, un quart en 20 min, mais alors le dernier quart a été CA.TA.STRO.PHIQUE, vous mettez un pas et votre pied s’enfonce dans le sable et vous reculez de 3/4 pas tellement la pente est forte, vous avez l’impression de devoir marcher sur un mur vertical mdr
Certains ont abandonné à mi chemin, d’autres dès les premiers 10%
Avec Fayçal on voyait mon fils déjà au sommet de la dune limite il nous narguait ; vous faites quoi les gars, vous venez ou bien ? en tout cas moi je le percevais comme ça lol. On s’est regardé tous les 2 avec Fayçal et on s’est dit :
Abandonner n’est pas une option
De mon côté j’en ai fait un truc personnel mdr, je me suis dit : Sami si t’arrives pas à aller jusqu’au bout de cette dune, tu pourras jamais regarder ton fils dans les yeux 🙂
On arrive tout en haut (plus de poumons pour ma part certes lol) et en voyant ça :
On s’est dit :
Heureusement qu’on est monté 🙂
Je ne fais pas le pensif sur cette photo, je reprends juste mon souffle lol, la montée était vraiment cardio. Lorsque Fayçal m’a montré cette photo je n’y croyais pas, le paysage derrière est juste magnifique, ça faisait trop photo artificielle photoshopée à laquelle on m’a incrusté. Sous certains angles on dirait même un tableau peint et non une vraie photo.
De l’autre côté c’est encore plus waouh :
Avec mon mentor 🙂 grâce à qui je n’ai pas lâché l’affaire 😉
Quand vous voyez ça vous vous dites, attendez 2 secondes, c’est ici qu’il y avait la savane avant ? 😀
On nous appelle pour manger, l’heure de savourer la descente, c’est une sensation unique ça aussi, d’habitude on se dit ouais faut faire attention en descendant pour ne pas tomber. Sauf que là tu te dis, et ça fait quoi si je tombe, c’est que du sable ? mdr
Picnic, thé et sieste et c’est reparti, on doit maintenant rejoindre notre point de bivouac pour la nuit : Tin Merzouga.
Sur la route quelques paysages d’une autre nature, remarquez la couleur différente de la roche par rapport aux photos précédentes.
On s’arrête vraiment vite fait à cet endroit pour voir quelques peintures rupestres mais bien abîmées, elles ne ressortaient presque pas sur les photos.
Sinon vous l’avez vu le bonhomme tout en haut ? lol
Vous savez ce que c’est ?
Ce que vous voyez dans la main c’est ce qui forme l’espèce de couche rocheuse derrière sur la photo. Sauf que ce n’est pas du tout de la roche, c’est de la bouse de vache millénaire 🙂 ça s’est tellement entreposé que ça a fini par former une couche géologique.
Sérieux, ce n’est pas abusé ? Une sculpture naturelle, Gloire au meilleur Créateur
Par contre on a divergé, vous voyez quoi vous ? (balancez vos réponses dans les commentaires, je vous dirais ensuite ce qu’on a pensé de notre côté)
Nous arrivons enfin à Tin Merzouga, notre camp pour la nuit.
Encore de la verdure on dirait presque un champ de quelque chose, sauf que lorsque je me suis rapproché, c’était ça 🙂
Il ne reste plus beaucoup de temps avant al maghreb, il faut installer le camp et, l’idée qui a fait son bout de chemin dans la tête de tout le monde est : monter la grande dune d’en face 🙂
Un aller/retour avant le coucher du soleil ? Et bien non, le but est justement d’assister au coucher du soleil au sommet de la dune. Et la prière dans tout ça ? À votre avis ? Nous avons prié la maghreb au sommet de la dune mdr
L’une des prières les plus spectaculaires de notre vie 😀
La dune en question, je vous ai mis plein de petits ronds blancs sur la photo, chaque rond représente l’un d’entre nous pendant l’ascension, et à votre avis c’est qui le grand rond blanc au sommet de la dune qui nous nargue encore une fois ? 🙂
L’équipe est au complet, on peut juste apprécier le silence, le coucher du soleil, l’incroyable air pur et l’immensité du désert.
Après la prière, on serait bien resté un peu plus longtemps mais un facteur naturel nous a tous chassé : le froid, déjà qu’il caille énormément en bas mais alors au sommet de la dune c’est un vrai congélateur, les différences de température entre le jour et la nuit sont énormes.
Notre 2ème nuit dans le désert se profile, cette première journée pleine a été méga méga riche, moi qui étais déjà satisfait de mon voyage rien qu’en voyant les premiers paysages tôt le matin, j’étais on ne peut plus comblé arrivé au soir.
Sincèrement je me suis demandé s’il y avait encore des choses qui allaient m’impressionner et me réjouir, réponse au prochain épisode inchaAllah 😀
D’ici là, svp partager ces récits autour de vous, soyez les ambassadeurs de cette richesse auprès des vôtres 🙂 et pensez à vous abonner sur Facebook et Instagram et au prochain épisode inchaAllah.
16 Comments
Assalamou alaykoum wa rahmatullahi wa barakatuh sidi Sami, ma shaa Allah très bel article. Ca donne très envie et les images sont exceptionnelles soubhanallah. Alqacime à du s’éclater à grimper partout et bien dormir le soir.
Sinon concernant la sculpture naturelle, je vois un cochon 🙂
Y a pas que lui qui était mort le soir 🙂 j’en parlerai d’ailleurs au prochain épisode ^^
Assalamo 3laykom wa Rahmato ALLAH,
Bssa7atkom … du paysage à couper le souffle Soub7an ALLAH
pour la sculpture, je dirai Khenzir 🙂 comme Mathieu
Magnifique témoignage de ce désert ou plutôt de ces déserts qu’on connaît si peu et qui pourtant, en lisant ton aventure, gagneraient à être connus… j’ai l’impression d’avoir loupé quelque chose dans ma vie là lol…
Je me demandais si c’était judicieux de prendre un enfant de 9 ans dans un tel périple mais je vois qu’il a été un véritable booster de votre équipe afin de vous surpasser lol
Enfin, je suis carrément jalouse de son vol dans le cockpit!!!
Hâte de lire la suite et BarakAllah oufik pour nous avoir permis de prendre conscience des trésors inconnus de notre pays et d’une manière générale de la Grandeur de Notre Créateur à travers Ses Créations
Ne me parle pas de son vol entier dans le cockpit stp, je ne l’ai toujours pas digéré 🙂
C’est juste grandiose! Nous attendons la suite avec impatience.
Ma réponse à ta question autour de la sculpture naturelle: Je vois un porc portant sur son dos un chien couché sur le sternum 🙂
Très précis le mec, sternum carrément mdr
Salam oalaykom sidi! Wouah que dire! Tu as realisé un de mes rêves ! Époustouflant vos premières heures dans ce monde. Magnifique photos. Competitrice dans l’âme faut que je fasses une course avec Alqacim maintenant!
La sculpture me fait penser à un hérisson.
La journée il fait combien de degré ? Les enfants ont bien supportés la chaleur ? Est ce qu’il y a des nuages ?
Encore merci pour ce partage. C’est un très beau projet !
Merci Ouafa, alors la journée il fait entre 25 et 30 (dès 9h du matin, vers 17h ça chute d’un coup). Et non pas de nuage, ou très très peu.
Sérieux, on pense désert on pense chaleur, mais en réalité l’ennemi est le froid et non la chaleur 🙂
Hey salam ! merci beaucoup pour ce ravissement des yeux et du coeur ! c’est juste époustouflant !
wa alaykoum assalam Fadila
Ravi que ça te ravive 🙂
As salamou 3alaykoum wa rahmatoullah,
Super enrichissant ces articles, barakAllahou fik pour ces partages, ça nous permet d’en savoir un peu plus sur la vie au désert. Les paysages sont magnifiques. MachaAllah Al Qacim futur sportif de haut niveau .
Pour la sculpture ça m’a fais penser aussi à un hérisson.
Hâte de découvrir la suite inchaAllah
Salam alaykom. Merci pour ce récit qui nous a fait voyager ! Moi c’est le ciel étoilé qui m’a donné le plus envie, ainsi que les roulades dans le sable (c’est bien comme ça que vous êtes descendus de la dune hein ?!). Sinon pour la sculpture, moi je vois un cochon avec une fourrure frisée…
wa 3alaykoum assalam Jihane
Mdr la précision dans la description 🙂
Pour les descentes, y a eu plusieurs écoles : la roulade, descendre en courant et se laisser embarquer par la gravité lol, et descendre gentiment comme le 1er élève de la classe 🙂
Asalemwahleykoum,
Baraka Allahou fik pour ton récit vraiment Baraka Allahou fik.
Pour moi pour l’image aux premiers abords c’est un cochon lol…
Il est 03h08 du matin je vous ai re- découvert tout à l’heure je vous connaissez et même eu le plaisir de vous voir en vrai ( à Pierrelatte, Drôme (26) au lendemain d’une conférence ) et vous m’inspirer énormément. Je vous connaissez à travers les séminaires sur les parents (bien que j’en sois pas un ) et bref ça m’inspire énormément votre vision parcours aventure etc…
Et je voulais vraiment vous dire baraka Allahou fik vous me donnez envie de me surpasser de croire qu’il existe une autre façon de vivre que ce que j’ai toujours connu.
Merci beaucoup au plaisir de vous rencontrer in cha Allah, de passer une aventure en votre compagnie ainsi que d’autres comme vous.
wa 3alaykoum assalam mon frère Yacine
Ça fait un moment que je ne vous ai pas rendu visite dans le Dôme 🙂 (c’est prévu en cette année 2019 inchaAllah).
Merci en tout cas pour ton témoignage qui m’inspire à mon tour 🙂 et au plaisir d’une rencontre en chair et en os 😉